Aucune prière ne reste sans réponse
Pourquoi Rabenou a-t-il insisté sur le fait que le désespoir n’existait pas ?
Parce qu’il est naturel que l’on soit tenter de désespérer !
Comment changer ?
Rav, j’ai mauvais caractère. Je me mets en colère, je n’ai aucune patience… Cela me dérange d’autant plus profondément que ma famille en pâtit.
Sommes-nous prêts pour la venue du Machiah ?
On ne devient pas Breslev.
On ne vient pas à la rencontre de Rabbi Nahman.
C’est lui qui nous invite.
Sommes-nous prêts pour la venue du Machiah?
Des Tsadikim, il y en a eu énormément.
Des figures capables de se connecter au divin, il y en a eu énormément.
La simha du mois d’Adar
Le mois de Adar nous a ouvert ses portes et la joie s’est invitée dans nos cœurs.
Cette année, cette invitée est bien discrète, presque inaudible.
Si vous êtes ici, c’est que vous avez reçu un très beau cadeau
Connaître Rabenou est un cadeau de taille et, si vous avez le mérite de le connaître depuis plusieurs années, c’est un cadeau encore plus grand dans la mesure qu’il s’est renouvelé à vous à plusieurs reprises.
Danser. Oui, oui, danser
Danser permet d’écraser Amalek.
Déconcertant, n’est-ce pas ? Qui peut concevoir que danser puisse affaiblir des myriades d’individus et même les terrasser ?
Nos amis seront peut-être rares, mais vrais
De même qu’une œuvre reflète son auteur, le monde est le reflet de la puissance, de l’intelligence et de la bonté d’Hachem.
Pourquoi chercher la perfection?
Glaner quelques points positifs.
Une petite parole à Hachem, un sourire, un Tehilim, une petite pièce de Tsedaka, un petit chant, une petite danse…
Se trouver, c’est revivre!
Un jour, notre masque tombe.
Ce jour là, nous n’avons qu’une seule envie : décoller cette étiquette qui nous a été collée et qui ne semble plus nous correspondre.