Si nous mendions à Hachem
Sachez mes amis, que lorsque nous nous levons au Hatsot qui précède le matin de Pourim (après la lecture de la megila du soir) nous devons demander à Hachem de nous donner le mérite de goûter à cette lumière de Pourim.
En effet, Pourim est une fête particulière en ce sens où elle nous donne un avant-goût de ce qui sera notre quotidien lorsque Machiah sera venu : une vie de réjouissance articulée autour du don à son prochain, une vie durant laquelle nous intégrons que derrière les choses difficiles se trouvent de belles délivrances, une vie de festivité et d’étude des sens cachés de la Torah.
De même que Esther et Mordehay ont réuni le Am Israel en leur demandant de multiplier les prières, nous devons nous réunir dans la prière et tout demander à Hachem !
Souvenez-vous de ce qui est dit à Pourim :”kol hapochette yad, notnim lo” ( qu’on peut traduire par “tout celui qui mendie, on se doit de lui donner”).
Si nous mendions à Hachem, il va de soi que nous serons exaucés. Si nous mendions à Hachem, nous serons pris en pitié.
Quelle merveilleuse fête que celle de Pourim où nous avons un bon œil sur son prochain. Ça aussi, c’est un avant-goût de l’ère messianique !