Paracha Ree- Enseignement Breslev

 Cette Paracha nous enseigne que donner de la Tsedaka permet de s’attirer dla bénédiction dans l’intégralité de nos actes. 

Lorsque nous brisons cette difficulté à ouvrir notre cœur et à faire preuve de générosité, nous transformons les rigueurs qui pèsent sur le monde en miséricorde. 

Rabbi Nathan explique que de même qu’un pauvre qui éprouve le sentiment de tristesse et de colère se sent apaisé lorsqu’il reçoit de la Tsedaka, les rigueurs de ce monde s’adoucissent lorsque cette mitsva est accomplie. 

Ainsi, tout celui dont la richesse et la profusion sont l’heureux sort devra prendre conscience du fait qu’Hachem attend de lui de donner !

De plus, l’homme fortuné devra prendre conscience du cadeau qui lui a été offert de pouvoir profiter de cette abondance. En effet, certaines personnes n’ont à peine de quoi se nourrir. De plus, cette abondance est vouée à se multiplier en donnant de la Tsedaka. 

Et puisque l’homme qui donne reçoit en retour une bénédiction supplémentaire, celui-ci veillera à donner de la Tsedaka de façon agréable et souriante à toute personne qui en ressent le besoin.

Le lecteur qui lira ces lignes pourra s’interroger : peut-être que ladite bénédiction résidera chez celui dont l’activité professionnelle est habituellement prospère, et non chez celui qui exerce une activité plus modeste ? 

L’un des versets de cette Paracha répond à cette interrogation par la mention du terme ” tous les actes ”. Peu importe l’activité professionnelle exercée, la bénédiction sera décuplée à tout celui qui donnera de la Tsedaka. 

S’il est vrai que les soucis de Parnassa tendent à occuper notre esprit, chacun d’entre nous peut témoigner d’une chose : parfois, nous fournissons d’immenses efforts… pour finalement obtenir la bénédiction d’une toute autre façon. 

Ainsi, la nature de l’activité professionnelle exercée n’a aucune importance, dans la mesure où Hachem peut nous donner de l’abondance, peu importe ce à quoi nous nous employons. 

Rappelons-nous que d’une manière générale, l’inquiétude obstrue les canaux de l’abondance. 

Alors…cessons de s’inquiéter !