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Cette Paracha traite de l’interdit de pratiquer de la sorcellerie.
Il existe des attitudes superstitieuses comme, par exemple, croire qu’un chat noir porte malheur. Rabbi Nathan explique que c’est une bêtise de s’attacher à de telles croyances.
Il est vrai que l’homme est plein de doutes. Par exemple, lorsqu’il commerce, celui-ci se demande s’il va prospérer, quelle type de marchandise acheter, etc.
Et puisque les doutes jalonnent la vie de l’homme, celui-ci cherche des indices afin de savoir comment se comporter et quel chemin prendre. Toute personne qui se concentre sur le but de ce monde (la spiritualité) et dont l’objectif est de progresser dans ce sens, a le mérite de bénéficier d’un conseil avisé.
De ce fait, celle-ci n’a pas besoin de conseil qui relèvent de superstition en tous genres.
S’il est vrai que le chemin de la spiritualité est, lui aussi, jalonné de doute, il en demeure que si l’homme agit lechem chamayim, celui-ci atteindra son objectif (pourvu qu’il ne s’écarte pas du Dere’h Hatorah !)
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