Le tsadik connait notre âme
Acamol, doliprane… c’est pour les petits bobos !
Nous, nous avons besoin de médicaments bien plus puissants que ceux-ci !
Nous, nous avons besoin de Hatsot, de Hitbodedout, de voyages à Ouman… et de danses journalières.
Rav Avraham Ben rav Nahman le dit lui-même dans son œuvre Sasson Vesimha : il n’y a pas plus guérisseur que des danses journalières. Il est vrai que danser demande un effort de motivation. Ha, comme nous avons le sentiment d’être ridicules lorsque nous dansons ! Ha, combien de temps cela prend jusqu’à ce que la légèreté envahisse notre cœur ! Je me trouvai au Tsioune lorsqu’on me confia qu’un individu avait l’habitude de danser quotidiennement dans l’arrière cours du Tsioune pendant…3 heures ! 3 heures de danses quotidiennes ! Vous rendez-vous compte ?
Alors oui, ce n’est pas très agréable de se forcer à danser mais si on souhaite guérir, il faut se lancer !
Quelle leçon de vie le tsadik nous enseigne : lorsqu’un souci se dresse devant nous, nous avons tendance à envisager diverses solutions pour résoudre nos problèmes. Mais le tsadik, lui, nous donne le médicament adéquat qui correspond à ce dont notre âme a besoin dans son essence la plus profonde.
Mes amis, si nous sommes ici, génération après génération, c’est que nous peinons à effectuer notre Tikoune.
Le tsadik, lui, connaît notre âme et nous aide enfin à parvenir à ce tikoune grâce à des méthodes simples et efficaces. Il suffit d’écouter les conseils pour guérir !