Comment sait-on que la venue du Machiaḥ est proche ?


Il existe un signe simple, mais bouleversant : la vérité se diffuse, et elle atteint aujourd’hui des zones où elle n’était jamais parvenue.

Regardons autour de nous.
Combien de personnes se renforcent dans l’accomplissement des mitsvot, dans leur lien avec Hachem, sans pour autant afficher la moindre apparence extérieure de religiosité ?
On rencontre parfois un homme ordinaire, dans un supermarché, sans kippa, sans tsitsit, sans aucun signe visible. Et pourtant… son cœur brûle d’un attachement profond à Hachem et à Rabbenou. Parfois même plus profondément que ceux qui, extérieurement, paraissent engagés.
Il existe aujourd’hui des âmes très connectées à Hachem, très attachées à la lumière de Breslev, mais de façon discrète, presque imperceptible à l’œil nu.

Lorsque le tsadik parvient à éveiller l’amour de la Torah et des mitsvot chez des personnes éloignées de toute apparence religieuse, cela signifie que la vérité a pénétré les zones les plus reculées de l’existence. Alors, la guéoula ne fait pas que s’approcher : elle progresse, elle envahit le monde.
Un véritable tsunami de émouna est en train de se lever.

Rabbenou l’a enseigné :
Ce ne sont pas les grands penseurs, ni les esprits brillants, qui amèneront le Machiaḥ.
Ce sont les gens simples, ceux qui murmurent les Téhilim avec un cœur sincère, ceux dont personne ne soupçonne la grandeur. Leur simplicité, leur pureté, leur attachement caché… voilà ce qui ouvre les portes de la délivrance.

Quand la vérité rejoint les âmes modestes, quand elle allume la flamme dans les cœurs les plus inattendus, alors on sait que le monde se prépare.
La lumière se propage.
La délivrance avance.

La venue du Machiaḥ n’est plus une idée lointaine : elle se ressent dans l’air, dans les rues, dans les visages simples, dans ces cœurs qui se réveillent en silence.

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