Celui qui cherche vraiment… trouve

Chaque jour, nous implorons Hachem de nous attacher aux véritables tsadikim, ces âmes pures qui ont quitté ce monde. 

Aujourd’hui, il est souvent plus puissant de se lier aux nechamot des justes disparus qu’à celles encore en vie. Libérées des limites du corps, elles peuvent nous éclairer, nous guider avec une clarté absolue. 

Car même les tsadikim de ce monde, bien que lumineux, avancent parfois dans le brouillard, tout comme nous. 

Alors, nous nous accrochons à ces maîtres invisibles, sans pouvoir croiser leur regard, sans pouvoir entendre leur voix, sans ressentir leur présence physique. C’est un attachement sans image, sans preuve tangible… juste avec le cœur, juste avec la émouna. 

Rabenou le disait : “Aujourd’hui, il n’y a pas de visuel. Il n’y a que la foi.” Pourtant, ces tsadikim sont bien là, tout près de nous. Tout existe dans notre génération, mais il faut chercher. 

Regardez Chlomo dans le Chir Hachirim, en quête de Hachem : “Hikouni Hachomerim”, s’écrie-t-il. “Les gardes m’ont frappé, ils ne me laissent pas chercher !” Et pourtant, il ne s’arrête pas, il poursuit sa quête avec ferveur. 

Car celui qui cherche vraiment… trouve.