Un jour que Rabbi Nathan était peiné, Rabbi Nahman lui adressa les propos suivants : » Si tu avais conscience du mérite que cela représente de m’avoir connu, tu danserais toute la journée « .
Notre peine n’a d’égale que notre inconscience.
Chanceux nous sommes… Mais fous nous sommes également.
Alors, lorsque la tristesse, la peine ou la mélancolie s’invitent dans notre cœur, gardons à l’esprit que nous sommes inconscients, que ce sentiment est certes humain mais erroné car nous bénéficions d’innombrables bénédictions au quotidien !
Avoir conscience d’être fous, voilà notre bouée de sauvetage !
Extrait du cours du rav Avraham Ifrah du 26.6.19.
Pour la refoua chelema de Sandrine bat Jeanine et Jeanine bat Églantine.